Conchita

Olé
Olé

Olé, olé, olé, olé
Olé, olé, olé, olé
Conchita, Conchita
Conchita, olé, olé, olé, olé

Olé, olé, olé, olé
Olé, olé, olé, olé
Conchita, Conchita
Conchita, olé, olé, olé

Le petit jeune, il s'ennuie
Depuis que sa belle est partie
Il se lamente tous les soirs en caressant
Son petit arrosoir

Reviens belle andalouse
J'ai pas eu le temps de te terminer la pelouse
J'aimerais tant les retrouver tes mandarines
Et le gentil p'tit coquelicot qui fleurit quand on le calîne

Reviens belle andalouse
J'ai pas eu le temps de te terminer la pelouse
Sans toi tout se flétri et tout se ratatine
J'ai les radis tout désséchés et y'a du mou dans l'aubergine

Conchita, Conchita, Conchita
Conchita, ma belle jardinière
Conchita, Conchita, Conchita
Elle aime les fleurs mais c'est le poireau qu'elle préfère
Conchita, Conchita, Conchita
Conchita, ma belle jardinière
Conchita, Conchita, Conchita
Elle aime les fleurs mais c'est le poireau qu'elle préfère

Olé, olé, olé, olé
Olé, olé, olé, olé
Conchita, Conchita
Conchita, olé, olé, olé, olé

Olé, olé, olé, olé
Olé, olé, olé, olé
Conchita, Conchita
Conchita, olé, olé, olé

Le petit jardinier s'étiole
Il a perdu son espagnole
Il se lamente tous les soirs en caressant
Son petit arrosoir

Reviens belle andalouse
J'ai pas eu le temps de te terminer la pelouse
J'aimerais tant les retrouver tes clémentines
Et le joli p'tit abricot, tout sucré, plein de vitamines

Reviens belle andalouse
J'ai pas eu le temps de te terminer la pelouse
Sans toi tout se désséche et ça part en sucette
J'ai le pruneau tout rabougri et y'a du mou dans la courgette

Conchita, Conchita, Conchita
Conchita, ma belle jardinière
Conchita, Conchita, Conchita
Elle aime les fleurs mais c'est le poireau qu'elle préfère
Conchita, Conchita, Conchita
Conchita, ma belle jardinière
Conchita, Conchita, Conchita
Elle aime les fleurs mais c'est le poireau qu'elle préfère

Olé, olé, olé, olé
Olé, olé, olé, olé
Conchita, Conchita
Conchita, olé, olé, olé, olé
Olé, olé, olé, olé
Olé, olé, olé, olé
Conchita, Conchita
Conchita, olé, olé, olé